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Comptotuto • Jouer sur Linux (plutôt que sur Windows)
Linux camarade, Linux !
Linux ? Pour quoi faire ?

Mis à part passer pour un hurluberlu, passer sous l’OS manchot n’est pas sans avantages : dans un premier temps, la légèreté : le noyau ainsi que les services intégrés sont plus légers que son homologue de chez Gro'soft, ce qui permet de donner une seconde vie à des appareils commençant à dater.

Si vous être encore sur un disque dur, par exemple, les gains seront nets en termes de réactivité générale — bien que le SSD reste fortement recommandé en 2020. De plus, sources ouvertes aidant, la personnalisation est bien plus présente : il est, par exemple, possible d’ajouter des effets à foison sur les animations de fenêtre, ou, au contraire, opter pour un bureau sobre et un dock façon OS X. Comptez également sur une meilleure compréhension du fonctionnement d’un système d’exploitation, un système de mise à jour moins intrusif ; et — le Saint-Graal pour certains — l'indépendance du bon vouloir de la Raymonde quant au bon fonctionnement de votre machine. Le tout, sans pistage et, avec l’aide du comptoir, la possibilité de lancer vos jeux favoris, chose impensable il y a dix ans ! À la sortie de ce tutoriel, ce sont pas moins de 6000 titres qui offrent une jouabilité proche (et parfois meilleure !) de l’exécution windowsienne, soit largement de quoi trouver son bonheur.

 

Attention : en dépit des efforts considérables de la communauté libre, Linux reste un système qui n’est pas équivalent à Windows, en particulier si vous êtes un grand utilisateur de certains logiciels n’ayant pas d’équivalent strict — comprenez aussi bien fichus — sous cette plateforme, à savoir le pack Microsoft Office, la suite Adobe Creative Cloud ou encore les logiciels de modélisation 3D (Blender faisant exception). Notez que, du côté des jeux, la plupart des système anti-triches ne sont pas supportés : dites adieu à Fortnite et à Apex, par exemple, et à League of Legends à partir de l'an prochain si le projet se concrétise. Pour toutes ces tâches, il vaut mieux renoncer directement au manchot ou prévoir un dual boot (inclus dans ce tutoriel) ! De manière générale, renseignez-vous sur les compatibilités avant de vous lancer dans une installation si vous faites autre chose que surfer et jouer. De plus, pour les stations de travail grand public, les pilotes Linux ne sont pas aussi optimisés ni codés avec autant de soin que leurs homologues de l’OS fenestré. Autant vous dire que pour un triple A de 2020 mode tout-à-fond, l’exécution native sous Windows reste (malheureusement) encore à privilégier.

 

Linux camarade, Linux ! [cliquer pour agrandir]



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