Switch 2 : les performances en mode docké et portable |
————— 15 Mai 2025 à 12h05 —— 17951 vues
Après la présentation de sa carte mère (non fonctionnelle), la Switch 2 continue de livrer ses secrets grâce à une nouvelle vidéo partagée par Digital Foundry. Le média britannique y analyse les performances de la console hybride, et révèle de nettes différences selon le mode d’utilisation (docké ou portable).
Perfs vs autonomie
Le précédent rapport avait déjà révélé les grandes lignes de la machine. On retrouve un SoC T239 équipé de huit cœurs ARM Cortex-A78C. DF nous apprend que six sont disponibles pour les jeux — donc deux sont réservés aux tâches système. Selon la source, le CPU fonctionne à 1 101 MHz en mode portable, contre 998 MHz en mode docké. Ce n’est pas une inversion accidentelle : la console compense certainement par ce biais certaines restrictions qui seront évoquées ci-dessous. Le CPU peut monter jusqu’à 1,67 GHz en pointe.
Côté GPU, nous retrouvons 1 536 cœurs CUDA basés sur l’architecture Ampere (exploitée par les GeForce RTX 30 Series). Si la fréquence maximale annoncée est de 1 400 MHz, le GPU tourne à 1 007 MHz en mode docké, et chute à 561 MHz en mode portable. Ces valeurs correspondent à une puissance théorique d’environ 3 TFLOPs et 1,7 TFLOPs respectivement (ou 4,3 TFLOPs en se basant sur le maximum à 1,4 GHz).
La mémoire partagée est elle aussi impactée par le mode d’utilisation. Sur les 12 Go de LPDDR5X embarqués, 3 Go sont réservés au système. En mode docké, la RAM atteint 3 200 MT/s, contre 2 133 MT/s en portable, ce qui influe logiquement sur la bande passante disponible (102 Go/s contre 68 Go/s).
Comme sur la première Switch, et à l'instar de nombreux appareils portables, y compris les PC, les performances varient donc drastiquement en fonction du mode d’alimentation. Seulement avec la Switch 2, l’utilisateur n’aura pas la possibilité de choisir sa priorité. Rappelons aussi que le socle de l’hybride intègre un système de refroidissement actif destiné à la soutenir lorsqu’elle fonctionne à ses pleines capacités.
Quoi qu’il en soit, les progrès par rapport à la Switch première du nom sont manifestes — ce qui est bien le minimum attendu huit ans plus tard.
| Console | Switch 2 | Switch 1 |
|---|---|---|
| SoC | Nvidia T239 | Nvidia Tegra X1 |
| Archi CPU | 8x ARM Cortex A78C | 4x ARM Cortex A57 |
| Fréquences CPU | 998 MHz (docké), 1101 MHz (portable), Max 1,7 GHz | 1020 MHz (docké / mobile), Max 1 785 MHz |
| Réparation CPU | 6 cœurs pour les jeux, 2 pour l’OS | 3 cœurs pour les jeux, 1 cœur pour l’OS |
| Archi GPU | Ampere | Maxwell |
| Cœurs CUDA | 1536 | 256 |
| Fréquences GPU | 1 007 MHz (docké), 561 MHz (portable), Max 1,4 GHz | 768 MHz (docké), 460 MHz (potable), Max 921 MHz |
| Mémoire | 128-bit / LPDDR5 | 64-bit / LPDDR4 |
| Bande passante mémoire | 102 Go/s (docké), 68 Go/s (portable) | 25,6 Go/s (docké), 21,3 Go/s (portable) |
| Allocation mémoire | 9 Go pour les applis, 3 Go pour le système | 3,2 Go pour les applis, 0,8 Go pour le système |
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Ça pousse vers le full demat, mais trouver qqchose sur le Nintendo eShop est une véritable catastrophe
Alors on est pas au niveau catastrophique qu était l interface de la Wii u encore heureux
Après la caméra, le gameshare, ... T as pas obligation de les utilisé à ma connaissance
Mais pour moi c est plus utile (le gameshare en tout cas) que le motion gaming en conservant les joycon detachable
La caméra... Pour moi c est plus une excuse coûteuse pour justifier une nième augmentation de l Abo du online