En cabine • MSI Forge GK600 TKL

Le Forge GK600 TKL Wireless démonté

Pour désassembler le clavier, il n’y a aucune vis à retirer. Les deux parties sont encastrées l’une dans l’autre par des clips. Pas besoin de fastidieusement enlever plein de touches et de vis comme pour le MSI Strike 600. Hélas, la dislocation n’en est pas forcément plus aisée ; en témoigne la séquence ci-dessous, directement proposée par la chaîne MSI Gaming, et dans laquelle vous retrouverez d’ailleurs la vieille connaissance précitée.

Nous n’avons pas autant galéré que la personne de la vidéo, mais il faudra clairement jouer habilement du tournevis ou d’un outil fin à insérer dans les interstices. Une fois cette besogne enfin terminée, voici ce que vous découvrez.

Sur son site web, MSI parle de « plusieurs couches de protection contre le bruit ainsi qu'un système de suspension en mousse parviennent à bien isoler le clavier et à réduire au maximum le bruit émis par la frappe sur chaque switch ». Comme nous l'avons vu dans la section précédente, le clavier ne souffre d’aucune stridulation disgracieuse, mais n'est pas parfaitement insonorisé pour autant.

© MSI

Pour le démonter intégralement, il y a bien des vis à enlever, mais au niveau du PCB. La plupart des différentes couches sont amovibles. Seules exceptions : les deux présentes au niveau des châssis.

Les couches ne sont pas systématiquement présentées dans le bon ordre

Terminons avec le système d’alimentation. Pas de mauvaise surprise, il est bien relié à une batterie de 4 000 mAh. Le port USB-C est présent sur carte fille ; tout est démontable, et donc remplaçable.

Verdict

Un clavier coloré, limite guilleret

Petit mais pas cheap

Du RGB bien intégré

Une signature sonore atypique

La typo de certaines touches

Pas le plus discret des claviers !

Absence de macros