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Nous avons essayé • Cooler Master MasterKeys Lite L
Le clavier de face
Le clavier de fesse
Pieds paquets
Pieds relevés
Tout nu et tout airvébéééééééééééééé !
Ca pique les noeils !
Mulot à la plage
Finish him !
La bête explosée !

• MasterTest !

Avec un nom de type MasterKeys, on a directement pensé aux nouveaux claviers mécaniques du constructeur (dont la version TKL est au bureau) et c'est clairement ce sur quoi compte Cooler Master. On a là une version allégée du MasterKeys Pro L au niveau esthétique (quatre touches en moins au-dessus du pavé numérique et des touches de fonction en moins) avec tout autant de couleurs au niveau du rétroéclairage. On va faire un tour du clavier de ce kit et nous nous intéresserons à la souris qui l'accompagne par la suite.

 

Le clavier de face [cliquer pour agrandir]

Le clavier de face

 

L'engin mesure 439mm de long, 129mm de profondeur et 41mm de haut. Il est équipé de commutateurs "Mem-chanical" qu'on découvrira dans le détail par la suite et qui peuvent être habillés de dessus de touches pensés pour les commutateurs Cherry MX. Ceux inclus sur ce clavier sont d'ailleurs sympathiques, les deux rangées de caractères étant transparentes, là où on ne trouve souvent que les caractères principaux et les auxiliaires peints dans la masse. Pour le rétroéclairage, vous verrez ça plus en avant dans la vidéo, mais c'est un sans faute pour les adorateurs de licornes à paillettes.

 

Le clavier de fesse [cliquer pour agrandir]

Le même de dos

 

Le dos de la bête est aussi simple que sa face. Deux patins en gomme sur le bas et sur le haut, ce sont les pieds dépliables qui joueront le rôle de patins, aussi bien repliés que dépliés. L'ensemble assure une bonne stabilité sur le bureau et cette solution retenue par Cooler Master devrait inspirer d'autres constructeurs qui font souvent moins bien sur des modèles pourtant plus haut de gamme.

 

Pieds paquets [cliquer pour agrandir]Pieds relevés [cliquer pour agrandir]

Profil avec pieds rentrés et relevés

 

A plat ou légèrement incliné, la forme des touches est pensée pour faciliter l'accès à chaque rangée et optimiser les déplacements des doigts. On n'a certes pas quelque chose d'aussi abouti que sur du matériel haut de gamme, mais l'ensemble reste assez confortable, sauf pour ceux qui ne supportent pas les claviers sans repose-poignet. En même temps, ces dernières pourront toujours en ajouter un au besoin ou éviter ce genre de produit qui ne leur correspond apparemment pas. Jetons un oeil à l'intérieur.

 

Tout nu et tout airvébéééééééééééééé ! [cliquer pour agrandir]

Tout nu

 

Ca a la gueule d'un mécanique, mais quand on l'ouvre c'est tout autre chose. Le concept n'a rien de surprenant puisque Cooler Master l'utilisait déjà sur son kit Devastator. On a donc des membranes posées sur une surface balançant toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, des commutateurs "mem-chanical" par-dessus et enfin les hauts de touche compatibles Cherry MX. L'ensemble tient relativement bien en place (relativement, car les commutateurs viennent parfois avec le haut de touche) et on regrettera le choix de barres en acier pour rigidifier certaines des plus grandes touches, apportant un bruit désagréable au passage. Le côté tout plastique ne plaira peut-être pas, mais dans cette gamme de produits et à ce tarif, il est difficile de demander beaucoup mieux. Pour les plus curieux, voici la présentation de l'assemblage comme on peut la trouver sur la page produit du constructeur :

 

coolermaster masterkeys lite l pub 2

Le Mac SterKeys de chez Cooler Master !

 

On est sur du clavier très basique, qui a même du mal à se ranger dans la catégorie des claviers destinés aux joueurs. On a certes des gadgets, un mode Gaming (Fn + F11 pour désactiver les touches Windows), un réglage du temps de répétition des touches et un rétroéclairage qui dépote, mais l'antighosting et les touches programmables sont aux abonnés absents, rien n'est dit sur le N-Key Rollover et ce ne sont pas que de jolis noms inventés par Bob de la mercatique. La possibilité d'activer plus de quatre touches en même temps est essentielle à certains joueurs (rien que sur un FPS, bouger et courir/se baisser peut prendre trois touches, interdisant donc de recharger sur une quatrième) et les constructeurs ont en général pour habitude de mettre la chose en avant. Dans nos divers tests, ça n'a toutefois pas été gênant, même en jeu et Cooler Master avance un N-Key Rollover à 26 touches (ce qui semble beaucoup pour ce genre d'engin). Un autre point qui peut questionner, où est l'intérêt d'avoir le bruit d'un clavier mécanique sur un clavier à membrane qui peut être beaucoup plus silencieux ? Même si Cooler Master estime que la durée de vie de l'engin sera deux fois plus grande par ce biais, vos oreilles le supporteront-elles ? D'ailleurs, on en finit avec le clavier en vous offrant un petit zoom sur ces fameux commutateurs.

 

Cooler Master MasterKeys Lite L

Les commutateurs "Mem-chanical", spécialité de chez Cooler Master

 

Maintenant qu'on a fait le tour du clavier, et puisque pour faire un combo clavier et souris il faut une souris, passons au mulot que vous trouverez aussi dans la boite.

 

Ca pique les noeils ! [cliquer pour agrandir]Mulot à la plage [cliquer pour agrandir]

Le mulot sur ses patins et sur le dos

 

Le mulot mesure 114 mm de long pour 64 mm de large et 39 mm de long, son poids est de 91g et il conviendra à un usage en Claw Grip, la main en forme de griffe au-dessus, seul moyen de réellement accéder aux boutons de côté, à moins d'avoir une toute petite main. Il est équipé de six boutons (gauche, droite, DPI, molette, deux boutons de pouce) et de deux zones rétroéclairées. La molette, qui vous pétera les yeux, et l'arrière de l'appareil au niveau de la tranche (comme vous pourrez mieux le voir en vidéo).

 

Que dire sur l'engin ? Il est on ne peut plus basique. Trois patins en téflon qui font leur job, mais pas beaucoup plus, du plastique fin qui garde bien les traces et fait suer et tout de même deux ou trois trucs pour attirer le joueur passionné de couleurs. Le bouton DPI vous permettra de régler la sensibilité du capteur optique (AVAGO 3050 à 500, 1000, 2000, 3500 DPI), mais vous permettra aussi de régler le rétroéclairage. DPI + clic droit est le plus important, il permettra d'éteindre le rétroéclairage et votre rétine vous dira merci (non vraiment, le rétroéclairage de la molette est insupportable en plein jour), DPI + molette vous permettra de changer de mode d'éclairage (couleur fixe ou cycle de couleurs) et DPI + le second bouton de pouce vous permettra de changer la vitesse du cycle de couleur ou la couleur affichée en fonction que vous ayez opté pour l'un ou l'autre de ces modes. Ouvrons la bestiole pour voir de quoi elle est faite.

 

Finish him ! [cliquer pour agrandir]La bête explosée ! [cliquer pour agrandir]

Le mulot éviscéré et présenté en éclaté par le constructeur

 

On retire deux vis (sous les patins arrière) pour accéder à l'intérieur de la bête. On y trouve un assemblage tout à fait classique pour de l'entrée de gamme, avec un poids facilement démontable sur le haut du mulot si jamais 91g étaient déjà trop pour vous. On a tout de même deux commutateurs Omron pour les clics principaux et c'est tout, l'engin n'ayant pas de mémoire programmable ou quoi que ce soit (les puces sont présentes ont en charge la gestion des modes de rétroéclairage). A part dire que le capteur optique est un AVAGO réglable, qu'il y a de l'Omron à l'intérieur et que le rétroéclairage est RVB, il n'y aura aucun autre indice laissant penser que cette souris est plus destinée à jouer qu'à faire de la comptabilité. Voyons maintenant en vidéo ce que donne tout cela avant de conclure à leur sujet.

 



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