En cabine • Sharkoon Skiller SGM50W |
————— 29 Avril 2025
En cabine • Sharkoon Skiller SGM50W |
————— 29 Avril 2025
Les effets RGB sont mis en avant dès le début de la séquence ; ils s’activent effectivement dès le branchement. Tant la souris que sa station de charge scintillent et distillent leur arc-en-ciel de couleurs chatoyantes et mouvantes. Uniquement par dessous pour la seconde ; aussi par les deux boutons latéraux pour la souris (dont le ventre est d'ailleurs transparent) et via un petit serpentin sur le côté droit — mais toujours de manière très discrète. Posés sur le bureau, ces deux périphériques diffusent des effets de lumière finalement très discrets et pas du tout tape-à-l’œil. Ainsi, les aficionados du RGB risquent de les trouver trop légers pour satisfaire leurs envies nitescentes. Quant aux réfractaires de ces débauches de lumière, ils peuvent s'en accomoder, ou s'en passer.
Même dans le noir complet, vous ne serez pas aveuglé
Tant sur la souris que sur son accessoire, un bouton physique permet de faire varier les effets. Il y en a quatre en tout : le traditionnel feu d’artifice dynamique et tout bariolé ; des transitions douces de teintes monochromes ; du clignotement avec variations brutales de couleurs unies ; la même chose que précédemment, mais en version remplissage progressif.
Bien entendu, il est aussi possible de juste désactiver ces illuminations via ce même bouton. En outre, le deuxième bouton de la souris, qui sert à l'activer le mode sans-fil, permet de l'amorcer avec des effets lumineux (cran du haut), mais aussi sans (cran du bas). Quant au cran du milieu, il éteint le mulot.
Les lumières en action :
Ceci dit, ces scintillements ne sont pas juste esthétiques. La souris n’a aucun logiciel dédié. Tous les réglages s’effectuent donc à la volée, via les boutons (ceux précités pour le RGB, et par le traditionnel bouton DPI pour cet aspect). C'est ici que l'ARGB a une fonction : Sharkoon recourt à un code couleur pour chaque palier DPI : rouge pour 400, bleu pour 1200, vert pour 2400, jaune pour 3600, orange pour 4800 et enfin rose pour 6400.
Dans le même ordre d'idée, faute de logiciel pour quantifier l'autonomie restante, l’éclairage renseigne le niveau de batterie. C’est assez minimaliste, avec du vert pour symboliser la charge, du rouge pour indiquer qu’il reste moins de 20 %, et enfin un patchwork de teintes pour caractériser un mulot parfaitement revigoré. En pratique, ce système fait le job.
À ce propos, vous l'aurez sûrement remarqué, il n’y a pas besoin de brancher la souris pour la charger : il suffit de la déposer sur son socle pour qu’elle se ressource grâce aux deux pins de contact. La station de charge, magnétique, permet de déposer et de retirer facilement son hôte. À l’usage, c’est nettement plus confortable que de débrancher le câble du dongle pour l’enficher dans la bête. Dernier point en lien avec cet aspect : la souris possède un compartiment que referme une petite trappe pour loger le récepteur USB. Un moyen astucieux d’éviter de l’égarer en cas d’utilisation filaire.
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1 • Préambule |
2 • Présentation et caractéristiques |
3 • |
4 • La SKILLER SGM50W à l'usage |
5 • Un défaut qui ternit un peu le verdict |