Test • Synology DP320

Branchez, c'est (presque) prêt

Le DP320, 3 câbles : vous êtes parés.

Moins de 15 minutes, c'est le temps qu'il faudra pour la mise en œuvre du DP320, déballage compris. De la recherche sur le réseau local au login APM, le process comme toujours chez Syno se fait de manière fluide et rapide. Si vous connaissez déjà DSM, vous ne serez pas franchement dépaysés au-delà du changement de palette de couleurs des écrans proposé pour les étapes préliminaires du setup, et ce jusqu'à l'écran de login qui, s'il diffère de DSM, reste immédiatement reconnaissable, et joui également d'une possibilité de customisation : les DSI apprécieront sans doute ce petit plus identitaire !

Initialiser APM ? C'est comme DSM !  D'ailleurs, une fois le DP initialisé, il sera invisible par ce biais, et il faudra l'autoriser à nouveau dans la console.

Deux étapes clés pour la procédure d'initialisation : le login superAdmin et la configuration LAN

...et un login screen sauce Comptoir !

Au-delà de cette étape et hormis la console du dispositif (cf. screen plus bas), les ressemblances avec DSM se terminent, et même si l'on retrouve une console furieusement similaire, APM ne propose pas de centre de paquets. Elle ne manque cela dit pas totalement de logique : l'interface principale d'APM est dévolue à l'activité de sauvegarde, quand la console est tournée vers les options relatives au dispositif local : gestionnaire de stockage, routage, certificats, utlisateurs, domaines, moniteur de ressources, gestion énergétique... En termes d'interface, ce double choix n'est pas des plus pratiques pour retrouver ses oeufs et il faudra un peu de temps pour localiser des options spécifiques. En revanche, ceux qui sont familiers avec Active Backup se retrouveront ici en terrain conquis. À partir du tableau de bord qui fait office d'accueil, vous avez un œil direct sur votre infrastructure qui vous présente de manière résumée et interactive les chiffres clés de votre infrastructure de sauvegarde :

• le nombre de workloads
• leur taille sur disque
• le taux de déduplication
• le temps passé pour compléter les taches, séparant les sauvegardes incrémentielles des sauvegardes complètes
• l'évolution ^{24 h / 7 j / 30 j} du volume de données sauvegardées
• l'évolution ^{30 j / 180 j / 365 j} de la taille totale des sauvegardes sur le DP

Vous y trouverez également un calendrier d'évènements vous signalant très visuellement â€” et pour le coup, très efficacement — un éventuel problème. En quelques clics vous pouvez configurer, surveiller, et gérer l'ensemble de vos terminaux ; restaurer un serveur ou un simple fichier — que vos machines soient physiques ou virtuelles ; détecter ou restaurer les données corrompues ; sécuriser vos données en les rendant immuables et isolées.

Le dashboard d'APM â€” avec une charge de travail taillée pour le DP320 â†‘

La console du dispositif reprend une version allégée de DSM pour monitorer et paramétrer le hardware, via le port 5001 (par défaut) ↓