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Nous avons essayé • Une Miata, un Pi et son Pi Case 40 de chez Cooler Master
Une intégration sympathique dans la console centrale
Projet MX-5 :  avant
Projet MX-5 : après
Projet MX-5 : vision d'ensemble

• Et après ?

Vous l’aurez deviné, le projet est loin d’avoir été mené dans son intégralité. Sans toucher au calculateur, le circuit électrique gère un certain nombre de fonctionnalités facilement adaptables à notre installation au simple moyen de relais : centralisation du système de verrouillage, fermeture et ouverture des vitres, démarrage automatique de la voiture, allumage des phares... encore faut-il avoir le temps nécessaire à l’adaptation du circuit et la programmation d’une interface graphique ergonomique.

 

Une intégration sympathique dans la console centrale [cliquer pour agrandir]

Projet MX-5 :  avant [cliquer pour agrandir]Projet MX-5 : après [cliquer pour agrandir]

Avant /  Après : un look un peu plus moderne !

 

Une fois en place, le changement est indéniable : adieu le fouillis de bouton, et bonjour à une interface 100 % tactile bien plus actuelle. De quoi pouvoir envoyer des watts dans les oreilles en toute classe, lancer un filme pour le passager ou se repérer grâce à l’application Plan incluse avec notre interface, bien que cette dernière eût largement pu bénéficier d’un module GPS. Une nouvelle piste d’amélioration ?

 

Projet MX-5 : vision d'ensemble [cliquer pour agrandir]

Entre le gris poli du Pi Case 40 et l’écran sombre, le montage ne dénote pas de l’esthétique générale de notre Miata

 

Si nous avons opté pour un environnement linuxien, GNOME, très classique, pour notre habillage graphique du fait de l’utilisation simplifiée requise par le projet, notez que Cooler Master propose également un logiciel avec sa boiboite. Disponible librement sur GitHub — pourquoi ce n’est pas le cas pour les autres ? – ce Pi Tool permet de personnaliser l’unique bouton disponible en lui assignant un script quelconque. Vous pouvez également y overclocker votre carte, vérifier ses températures, sa charge CPU ou encore la quantité de RAM disponible. Des informations certes totalement superflues dans notre cas, mais qui feront le bonheur des utilisateurs de Pi en tant que machine à part entière.

 

Après quelques voyages en compagnie de ce Pi Case 40 motorisé, que pouvons-nous en retenir ? Hé bien, pas grand-chose de négatif : le bougre se débrouille tout à fait convenablement, que ce soit dans sa capacité à dissiper la chaleur du SoC, dans son look parfaitement assorti aux touches métalliques présentes dans l’habitacle, ou, tout simplement, par le bouton bien pratique. Qu’il s’agisse du montage, du niveau de finitions ou des performances proposées, le Pi Case 40 n’a jamais été mis en faute — il faut avouer que la tâche n’est pas non plus des plus ardues. En outre, à un tarif en pratique aux alentours de la grosse vingtaine d’euros, difficile de trouver une alternative inspirant autant confiance que le blason Cooler Master apposé à notre boîtier. Toutefois, l’aventure noname peut se tenter si vous ne tenez pas au look ; et une version avec ventilateur peut également se justifier si vous êtes un parano du refroidissement, encore faut-il avoir confiance dans la durabilité des moulins toute petite taille.

 



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