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Le jeu sous Linux peu affecté par les correctifs de ZombieLoad
intel zombieload profa cdh t

Alors que Zombieload fait, comme Meltdown un an auparavant, des ravages pour certains types d'applications, cela reste cantonné au niveau des serveurs, la vulnérabilité ne compromettant que les machines laissant la possibilité d'un accès distant. Malgré tout, les correctifs se retrouvent dans le noyau de Mr Toutlemonde - il serait dommage de se faire scanner l'intégralité du PC par un script web - il convient donc d'en tester toutes les utilisations.

 

C'est, une fois de plus, Phoronix qui s'est chargé du test pour les amateurs de jeux Tux, mais il faut dire que les correctifs sous Windows ne sont pas clairs alors qu'une simple option permet de désactiver le colmatage de la brèche sous l'OS libre. Nous retrouvons ainsi une RX VEGA64 et une GTX 1080 Ti pour un duel un peu courtaud composé de 4 titres : Dirt Rally 2.0, DOTA 2, F1 2018 et Hitman 2 ; mais dans tous les cas, l'impact est détectable mais très peu marqué. Comptez au plus 2%, soit quelques images par seconde tout au plus ; rien d’alarmant pour les joueurs, et cela est assez logique puisque les programmes vidéoludiques ne demandent que très peu d’interactions avec le noyau.

 

intel zombieload profa cdh t [cliquer pour agrandir]

Contre les zombies, une seule bonne solution !

 

Il serait par contre judicieux de comparer le taux d'image par seconde lors d'une utilisation mixte, par exemple une partie de CIvilization avec un navigateur ouvert ou un stream : il y a fort à parier dans ce cas que l'impact serait plus notable, surtout sur les processeurs peu threadés. Néanmoins, ce type de charge est difficilement reproductible, d'où leur absence de nos banc de tests. A voir à l'usage, donc, et attention au placebo !

 

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