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Test • AOpen Butterfly

 

  • Celle-ci est donc dissociée du reste du châssis, et doit être montée à part, à la fin du montage.

  • son design arbore une robe plastique noire, type "black piano" chère à Antec, sauf que c'est du plastique de belle qualité. Le plastique des fenêtres des périphériques est lui plus grossier, rugueux au toucher, couleur gris clair. On peut y voir les 6 pseudos vis qui permettront de fixer la façade au châssis ultérieurement, en effet celle-ci se clipse et non se visse.

  • La face cachée de la façade renferme la connectique qui est classique, à savoir deux câbles USB2 et une câble audio+audio HD. En plus de celà, il faut compter les traditionnelles prises HDLed, Power switch et PowerLed. Pas de reset, ce qui est étonnant, mais le Power led possède deux branchements 3 et 2 broches, ce qui permet une compatibilité avec toutes les cartes mères du marché, garanti 100% zéro bricolage. En effet qui n'a pas eu une carte mère avec 2 broches powerled et un châssis avec un câble 3 broches qu'il a fallu couper pour adapter. Pas de ça ici. Le bouton On/off est central, autour d'un plastique translucide par lequel les diodes d'allumage et d'activité des disques durs clignoteront. Cet interrupteur a du jeu sur son axe, ce qui fait assez cheap.

 



Un poil avant ?

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Un peu plus tard ...

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