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Nous avons essayé • ASUS ROG STRIX Flare
ASUS ROG STRIX FLARE, dans son intégralité
ASUS ROG STRIX FLARE, sans le repose-poignets
Une plaque pas bien utile
ASUS ROG STRIX FLARE, Repose-pieds dépliés
ASUS ROG STRIX FLARE, Repose-pieds repliés
ASUS ROG STRIX FLARE vue de dos

 • prise en main

ASUS ROG STRIX FLARE, dans son intégralité [cliquer pour agrandir]

 

ASUS ROG Claymore
Dimensions 454 x 155 x 31 mm
Poids 1256 g
Format AZERTY complet
Commutateurs Cherry MX Blue, Brown, Red ou Black
Rétroéclairage

Oui : Aura !

Logiciel ROG Armoury II
Tarif 174€90
Garantie

2 ans

Dès les premières minutes, on sent le savoir-faire d'ASUS dans les finitions exemplaires du clavier : l'ensemble est harmonieux, les lignes classiques. Dévoilé au CES 2018, le ROG STRIX FLARE vient se positionner en dessous du ROG Claymore (que nous avions testé ici), un autre clavier mécanique de la firme formant le très-haut-de-gamme. Par rapport à ce dernier, le STRIX FLARE proposera, en bref, un l'encombrement supérieur (large repose-poignet, pavé numérique intégré, touches multimédias et roulette de volume dédiés) sans concession sur ses fonctionnalités (RGB entièrement programmable par touche, macros programmables toujours par touche, N-key rollover, anti-ghosting, USB pass-through). Au vu des mensurations du bouzin, il sera assez difficile de le caser dans des configurations exiguës, mais cela n'est heureusement pas son but.

 

 

• L'extérieur

L'ensemble semble solide est respire la qualité. Le design reste sobre, les niveaux de RGB mis à part, ASUS ayant une fois de plus abandonné le hibou qui servait d'emblème aux périphériques STRIX, à notre plus grand soulagement. Le design "bicolore" mat et brossé est discret, mais élégant, et l'agencement des touches multimédia n'est absolument pas déplaisant. Enfin, le repose-poignet est détachable ; il ne tient que par son adhérence au bureau, solution simple et efficace, cela évitera de casser des éventuelles fixations plastiques, parfois peu robustes.

 

ASUS ROG STRIX FLARE, sans le repose-poignets [cliquer pour agrandir]

 

Les plastiques sont de bonne facture, d'un noir relativement clair et mat, un bon point pour la durabilité. En effet, le revêtement ne risque ainsi pas de se détériorer avec le temps. Le feeling est très bon, la matière est plutôt douce et dense, ce qui rappelle quelque peu le plastique utilisé par l'iPhone 5C, la couleur en moins : un très bon point. On aurait cependant apprécié une conception plus métallique, qui aurait apporté un peu plus de cachet à l'ensemble.

 

Une plaque pas bien utile [cliquer pour agrandir]

Si le design général est assez sobre (pas de rouge ni de dragon) avec ses formes arrondies peu agressives, les indicateurs de verrouillage des majuscules (ainsi que chiffres et défilement) se dessinent très voire trop nettement, le RGB atténuant l'impression sans la dissiper totalement. Il faut dire que le blanc se démarque facilement des couleurs, particulièrement en basse luminosité.

 

Pour les fans de customisation, la plaque sur le bord supérieur droit, arborant initialement le logo ROG, peut être remplacée (ASUS vous en fournit une vierge), un petit plus aux allures de gadget, certes ; mais pour personnaliser un clavier, difficile de faire beaucoup mieux.

 

Comme connectique, le clavier propose un unique port USB 2.0 (dommage si vous souhaitiez l'utiliser pour lire une clef USB dernière génération) et se connecte via deux prises USB (2.0 également, logique), reliées via un câble tressé d'aspect robuste. Dans cette gamme de prix, on aurait pu aimer un équipement un peu supérieur, comme un vrai hub USB (3.0 !) ou des prises micro-casque. Un dernier point noir : le clavier est dépourvu de touches macro. Si certains n'en seront absolument pas gênés, c'est une fonctionnalité qui peut faire tache pour un modèle de cette trempe, d'autant plus que d'autres produits concurrents le proposent, tel le Logitech G910 Orion Spectrum ou le Razer BlackWidow Chroma. Notez que ces deux derniers abandonnent pour cela les switch de chez Cherry pour une conception maison. Le bundle fourni est (trop) minimaliste, pas de touches ZQSD de rechange, pas de démonte-touche, les économies de bouts de ficelles sont passées par là.

 

Le clavier est disponible selon différentes sauces goût cerise : il vous faudra en effet choisir les switchs utilisés parmi les Cherry MX Red typés joueurs, les MX Black plus dures, les MX Blue plus tapoteurs ou encore les MX Brown plus équilibrés, tous en version RGB bien sûr. La version que nous testons ici est équipée de ces derniers marrons, et rien n'est à redire de ce côté-là : les mécanismes sont confortables, polyvalents, et le bruit est bien moins présent que sur son frangin bleu. Un compromis de choix en somme pour qui touche à tout, en attention lé démocratisation des MX Clear !

 

Les caoutchoucs sont très larges et maintiennent bien le clavier en place, tout comme le repose-poignet ; pas de problème de fixatin à l'horison : ils sont bien partis pour assurer sans soucis leur travail pour de nombreuses années. Les pieds sont solidement attachés à l'ensemble et permettent une utilisation confortable, même après plusieurs heures de jeu.

 

ASUS ROG STRIX FLARE, Repose-pieds dépliés [cliquer pour agrandir]ASUS ROG STRIX FLARE, Repose-pieds repliés [cliquer pour agrandir]

 

On aime : le RGB par-dessous

Sous le clavier, deux zones pourront éclairer votre bureau, à la manière de l'ambilight autour des téléviseurs Philips. L'idée est particulièrement judicieuse et remplie son rôle à merveille, bien que l'intérêt soit purement esthétique ici.

 

ASUS ROG STRIX FLARE vue de dos [cliquer pour agrandir]



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